Thème « aventure »
Dans le jardin de Marilyn, il y a une cabane, des animaux, des bâtons qui deviennent des épées. On peut jouer sans les parents et boire du sirop de mouche. Ça ressemble au paradis. Sauf qu’on ne va quand même pas passer toute sa vie au paradis.
Au fond du potager, derrière le portillon, débute le monde sauvage. On n’a pas le droit d’y aller seul. Mais à deux, c’est différent. Alors on y va ?
Je t'emmène dans mon jardin, tu vas voir, on peut y jouer à plein de choses... à la conquête de l'Ouest, aux pirates, à la navette spatiale, au foot, à s'asperger, et ce n'est pas tout ! Le jardin de Christine Davenier est effectivement un lieu merveilleux. Mais finalement, est-ce que tous les jardins ne sont pas magiques pour l'enfant qui y joue ?
Chaque soir, au village, on allume des lanternes orangées pour chasser l’obscurité. Tout le monde a peur des esprits de la nuit, des monstres griffus et terrifiants. Ning, lui, est un petit garçon timide qui aurait plutôt peur des autres enfants. Il a tellement besoin de calme, qu’il décide de fuir. Il s’enfonce dans la forêt, s’endort et, à son réveil, fait la merveilleuse rencontre de l’un de ces esprits.
Tout va pour le mieux sous le soleil de Corse, où Juliette et Ulysse profitent d’un repos bien mérité. Mais ils vont devoir reprendre du service : Oncle Kid a été kidnappé ! Du brûlant maquis à la base secrète au cœur de la montagne, nos héros ne reculeront devant aucun danger pour sauver leur oncle et déjouer les plans des terribles moustachus de la Firme. O comme Otage, K comme Courage !
Un seul vautour est vénéré dans tout le Mexique. C’est Orlando, et il le mérite. Savez-vous pourquoi ? Orlando est un vautour original. Quand ses semblables ne pensent qu’à dévorer les malheureux perdus dans le désert, lui n’écoute que son bon cœur. C’est ainsi que, un jour, il survola un chercheur d’or évanoui. Le pauvre homme avait sur lui des photos de sa famille. Aussitôt, Orlando décida de prévenir sa femme et son fils. Et pour cela, il fallut traverser un continent et braver bien des dangers…
C’est dans les années soixante, après Les aventures de la famille Mellops que Tomi Ungerer entreprend, à New York, une série d’albums en l’honneur des animaux jusque-là mal aimés ou carrément absents des livres pour les enfants : un boa constrictor, Crictor ; une pieuvre, Émile ; une chauve-souris, Rufus ; un kangourou, Adélaïde et un vautour, Orlando, que voici. Ils font mentir leur réputation, incarnent le bien, sauvent des vies, et se révèlent plus humains que ceux qui les avaient d’abord rejetés.
Un jour, Jérémie le lapin eut l'idée de faire un grand voyage. Il se mit à faire sa valise. Il en prit une petite, pour n'emporter que ce qu'il aimait vraiment. Mais c'était difficile de choisir parmi les livres de sa bibliothèque, et aussi parmi ses pyjamas. Il puis il fallait bien emporter de quoi manger et boire... Pas de souci, se dit Jérémie, je n'ai qu'à prendre une malle. Non, plutôt une petite caravane, ce serait plus pratique, il pourrait même dormir dedans. Mais lorsqu'il eut rempli sa petite caravane, Jérémie se trouva un peu à l'étroit. Il décida de mettre les roues de sa caravane sous sa maison. C'est alors que son ami Justin, puis ses parents, proposèrent de l'accompagner. Jérémie allait-il réussir à faire son grand voyage ? Trouverait-il l'île merveilleuse dont il avait rêvé, où il y avait à la fois la montagne, la mer et une petite ville pour danser le soir sous les réverbères ?
Un petit pois n’est jamais seul. On le trouve en cosse, en bande, en boîte.
Parfois, pourtant, il y a un rebelle parmi les petits pois. Un original qui rêve de s’envoler par la fenêtre.
Mais comment faire ?
Un petit pois, ça ne vole pas. Ça tombe par terre et ça se dessèche.
Heureusement, dans les cuisines, les petits pois aventureux ont des alliés. 
Une cuillère nommée Catapulte, par exemple…
Marguerite en a marre de regarder passer les trains et de produire du lait sans jamais en boire. Aussi, lorsqu'elle apprend qu'il existe un pays où les vaches sont vénérées comme des déesses, elle n'hésite pas : elle salue le troupeau et se met en route illico...
Quelle vision du monde peut avoir un petit poisson au fond de son étang ?
À force de ressasser leurs aventures dans le Lailleurs, Abel, Adèle, Antoche, Miel, Miloche, Alysse et Ulysse ont fini par inventer une longue histoire, peuplée de monstres, de nuages aux yeux verts et de soleils à l’envers que les autres Pozzis ne se lassent pas d’écouter. Ce soir, le chef Ignace leur a demandé de raconter les dix épisodes de leur aventure, en musique, en chansons et en une seule fois. Ce sera la Grande Représentation. Tous les Pozzis sont invités, même les chefs disparus, qui flottent dans le ciel transformés en nuages roses. L’un d’entre eux se démarque des autres, il paraît plus grand, plus rose, plus brillant aussi. Il s’agit du Chef Pozzi, celui par qui tout a commencé…
 
Les Pozzis ont peu de mémoire, comme chacun sait. Pourtant, ceux qui sont partis dans le Lailleurs n’ont rien oublié de leur expédition. Depuis leur retour au pays, ils bavardent, confrontent leurs souvenirs, se murmurent des secrets au creux de l’oreille. Or les Pozzis sont censés ne rien savoir du Lailleurs, c’est la règle. Et leur chef Léonce finit par interdire toute discussion à ce sujet. Il ne faut plus en parler, plus y penser. Jamais. Après cette interdiction, Miloche pâlit à vue d’oeil, se laisse dépérir, mugit quand il en a la force en direction du Lailleurs… Mieeeeeeel ! Ni Alysse ni Ulysse n’ont de doute, Miloche appelle son âme-frère rencontrée dans le Lailleurs. Comment va-t-il surmonter cette séparation ? Les deux Pozzis, très inquiets, sont prêts à tout pour l’aider.
Une fourgonnette bleue, un ballon jaune, un prisonnier, un fakir sur un tapis volant, peux-tu les retrouver au fil des pages ? Peux-tu raconter leur histoire ? Au fait, n'y aurait-il pas quelques autres histoires à déchiffrer ou à inventer dans ce livre ? Allez, au travail !
Voici, cher lecteur, l’incroyable histoire de Radio Banane. Au coeur de la jungle, Aristote le petit singe va faire une surprenante découverte. Cette trouvaille va déclencher une série d’événements tout à fait étonnants, spectaculaires, joyeux et formidables. Bien des vies vont même s’en trouver bouleversées. Mais n’allons pas trop vite dans le récit et commençons par le commencement : un matin, Aristote partit en balade.
Coquette, Susie et Rebecca n’en peuvent plus. Cet imbécile de coq rend impossible la vie au poulailler. Il s’accapare la nourriture, moleste les nouveaux venus, terrorise les poules qui essaient de s’opposer à sa tyrannie.
Un soir, discrètement, Coquette propose à ses amies de s’enfuir. Là-bas, au-delà des champs, loin de ce petit enfer triste et ennuyeux. Le début du voyage sent bon la liberté. Mais trois poulettes toutes seules dans la forêt, par une nuit d’orage : elles ne sont pas rassurées. Elles trouvent bien un abri contre la pluie...
Mais contre cette chose énorme et inconnue qui approche, ce monstre qui crache de la fumée ?
C’est l’époque des châteaux forts et des chevaliers aux armures bizarres.
Roussette n’a pas la vie facile. À cause de ses cheveux roux, les gens la prennent pour une sorcière. Et ce jour-là, les enfants du village la poursuivent pour lui faire des misères. Elle tombe dans une vaste grotte. De drôles de créatures l’encerclent. Â« Ouste, les zaffreux ! » dit Roussette. Mais les zaffreux veulent jouer…
Des images splendides, un sens rare des couleurs, des trouvailles visuelles incessantes, et surtout beaucoup d’humour… Pour son coup d’essai, qui se voulait un hommage aux enlumineurs du Moyen Âge autant qu’aux dessinateurs d’estampes extrêmes-orientales, Adrien Albert a réussi un coup de maître. Impossible d’oublier de sitôt – et de ne pas avoir envie de partager – son histoire de lapin qui réussit à conquérir le cœur d’une princesse grâce à son ingéniosité et à ses dons d’observation !















