Thème « aventure et policier »
Elles ont bien commencé, ces vacances en Bretagne : Antoine a été invité dans un manoir au bord de la mer avec ses trois meilleurs copains. Il va pouvoir emporter sa guitare électrique et jouer du rock gothique sans déranger personne. En échange, les quatre collégiens devront s’occuper d’un gamin de 8 ans, prénommé Galahad. Seulement voilà : à peine arrivés, ils se retrouvent avec un cochon dodu et bouclé sur les bras, et des sales types qui ont juré de leur trouer la peau…
Le plus téméraire des cambrioleurs et le plus célèbre des détectives enfin réunis dans un coffret ! Deux grands classiques revisités dans des versions richement illustrées à l'encre et à l'aquarelle par Vincent Mallié.
Globulo est « guitariste par son père et brésilien par sa mère ». Weenie est anglaise, batteuse et un peu jalouse... Et Arlo Spring, dont personne n'arrive à croire que c'est là son vrai nom, saxophoniste. Tous trois sont engagés pour assurer, sans enthousiasme, l'accompagnement musical de Valérie Duvaux à la salle des fêtes de Roussy-la-Meulière, où la septuagénaire, représentante de la « chanson authentiquement française » - genre Quand la mer se retiiiiiiiiire, l'amour s'en va aussi - espère un retour triomphal.
À la fin du concert, Noémie, jeune et charmante journaliste de Radio Rétro, demande une interview à Arlo, lorsque, soudain, retentissent d'horribles cris : on vient de retrouver Valérie Duvaux étranglée dans sa loge, une botte de chaque côté de la tête et, entre les bottes, enroulée autour de son cou, une lanière de cuir. Voilà qui gâche un peu l'ambiance. Surtout lorsque l'on sait que Noémie a malencontreusement abandonné le saxophone d'Arlo dans le side-car de l'assassin. Ils se lancent à sa poursuite...
Dominic, le chien au flair infaillible, n'a qu'un an et demi mais son caractère est déjà bien trempé. Il joue du piccolo. Il collectionne les couvre-chefs extravagants : képi de fusilier du roi, chapeau montagnard à plume verte, béret de marin... Mais le trait le plus saillant de sa personnalité est qu'il voue un amour passionné à la liberté et à l'aventure et que sa faculté d'émerveillement ne s'émousse jamais. Aussi décide-t-il un beau matin de partir pour l'inconnu à travers le vaste monde. Et lorsqu'à un carrefour, sans lui dévoiler son destin, la sorcière-alligator lui indique néanmoins que le chemin de gauche est celui de toutes les aventures, c'est celui-là que Dominic emprunte d'un pas joyeux. A-t-il eu tort ? A-t-il eu raison ?
Le bord d'une haute falaise n'est pas la place ordinaire d'une épave... Qu'a-t-il bien pu se passer ? Un vieil homme semble connaître la réponse. Il était une fois un garçon intrépide et prétentieux qui rêvait de devenir le meilleur marin du monde. Son bateau s'appelait le Zéphyr...
La Tronche, Crêt Pourri, la Forêt du Massacre... On ne peut pas dire que les noms de lieux soient folichons, dans ce coin du Jura où Rose est forcée de passer trois semaines de vacances chez sa tante, à la place du stage de poney dont elle avait rêvé. Bien sûr, il y a Ludovic, son cousin, dix ans comme elle. Ils pourraient s'amuser ensemble. Mais Rose ne peut pas le souffrir depuis qu'il a dévissé la tête de sa poupée. Et puis il est maussade en ce moment : il s'est foulé le poignet en tombant d'un arbre. Dommage. Car Ludovic a une chambre géniale remplie de livres ! Mais Ludovic a formellement interdit à Rose d'y entrer. Et Rose qui adore lire ! Aussi, le matin où Ludovic part en exploration pour la journée, Rose désobéit. Dans le grenier interdit, elle découvre que tous les livres de son cousin traitent du même sujet... Rose se sent pousser des ailes et se fixe un objectif digne des plus grands explorateurs : la chasse au secret de son cousin !
Il y a deux histoires dans ce recueil. Une noire, une blanche. Une chaude, une froide. Le Wyoming, la Lorraine. Une histoire de nature, une histoire d'école. Une histoire d'incendie de forêt, une histoire de souffre-douleur albinos. Des flammes, des larmes. Racontées par une jeune fille, puis par un vieil homme. Deux récits de souvenirs. Les souvenirs les plus marquants de leurs enfances respectives. Toutes les deux des histoires de parias, de remords, de révolte.
Aube Claire, la jeune Esquimaude, et son chien Étoile Noire, qui a du sang de loup, participent à l'Iditarod, grande course de traîneaux qui relie Anchorage, dans le golfe d'Alaska, à Nome, sur les bords de la mer de Béring. L'épreuve est extrêmement dure. Le froid, la fatigue et la peur sont constamment de la partie. Jour et nuit, mille dangers - et le découragement - guettent les concurrents. Éviter l'abandon constitue déjà un exploit physique et nerveux pour un homme dans la force de l'âge. Pour une adolescente, cela tient du prodige. Si Aube Claire se lance dans ce Paris-Dakar des glaces en remplacement de son père blessé, c'est pour une poignée de dollars et pour une pincée de gloire. Mais c'est aussi pour prendre la mesure d'elle-même, par besoin de se dépasser. Et de ce point de vue, il ne lui sera pas indispensable d'arriver première pour avoir dans la bouche un goût de victoire.
Merci qui ? Merci les panés Celsius ! Antoine Delamoute et trois autres collégiens ont remporté le premier prix du concours organisé par une célèbre marque de poissons panés et s’apprêtent à passer un mois dans l’Arctique sur un navire scientifique. Ils viennent d’embarquer à bord de la Suspicieuse avec leur valise, un slip chauffant et des moufles. Même s'ils sont bien équipés, les gagnants arriveront-ils à bon port ? Entre le capitaine du bateau incapable de tenir la barre, une expédition rivale qui leur met des bâtons dans les roues et les ours blancs qui rôdent dans le secteur, ce voyage au Groenland risque fort de tourner au désastre !
Gabbin a tout vu ! Juché sur le toit, il a suivi le déroulement de la scène à travers une lucarne : le couple se chamailler, l’homme tirer un revolver de son pardessus, viser, et PAN ! PAN !, deux éclairs blancs toucher la femme qui est tombée en arrière, aussi raide qu’un bout de bois mort. Un meurtre !
En direct ! Lorsque l’assassin a levé les yeux vers Gabbin, éclairé par un rayon de lune, le garçon a compris que sa vie ne tenait plus qu’à un fil. Si ce sale individu l’attrapait, il allait y passer : trois balles dans la caboche et c’en serait terminé. Il fallait fuir, se cacher. Même si sa vie ne valait pas grand-chose, Gabbin, le monte-en-l’air, le ousititi des toits, allait défendre chèrement sa peau…
Par une belle après-midi d’automne, Garry le lion cueille des petits fruits. Au pied de la montagne, il pousse un rugissement qui résonne de toute part : « Par le poil de ma crinière, cette montagne est redoutable table table table ! »
Modou le lapin manque d’avaler de travers son petit déjeuner. « Il y a quelqu’un dans cette montagne qui gronde comme l’orage rage rage rage. »
Garry n’est pas très rassuré : « Continue sans moi, je ne suis pas bon grimpeur peur peur peur ! »
Fils unique de parents très ordinaires, Harry apprend qu’il est également l’unique héritier d’un vieil oncle d’Amérique. Une perspective plutôt alléchante !
Mais de quoi va-t-il donc hériter ? D’or, d’une Porsche, d’un avion ? Rien de tout cela ! L’héritage de Harry, c’est Madison, un perroquet !
Mais attention ! Un perroquet qui n’a rien d’ordinaire : il parle, bien sûr, mais il sait également lire, répondre au téléphone, jouer du piano avec le bec, il connaît de savoureuses recettes de cuisine, fait des mots-croisés et est aussi imbattable au Monopoly qu’aux échecs !
L’héritier et l’héritage deviennent vite inséparables… jusqu’au jour où un voleur kidnappe Madison. Harry est inconsolable. Et le triste perroquet que ses parents lui offrent pour le remplacer n’y fait rien. Quant à Madison, il est prêt à prendre tous les risques pour retrouver son petit maître. Mais comment faire ? Londres est une si grande ville et il est si facile de s’y perdre…
Ils sont deux intrus sur l'île du Drôle, deux indésirables, traités en esclaves. Snejna, dite « la belette », une vieille femme, seule rescapée d'un naufrage, il y a trente ans. Balthazar, le bâtard d'une bonne famille de l'île, mère morte, père inconnu. Ils se sont reconnus, approchés, apprivoisés. Les habitants de l'île détestent la mer. Snejna et Balthazar, eux, la regardent. Elle rêve de repartir de cette foutingaille de terre ! Il rêve d'être ailleurs, à défaut de savoir la vérité. Un lendemain de tempête, à l'aube, la surprise qu'ils attendaient est là . Il y a un bateau dans l'anse. Son pavillon ? La tête de mort aux tibias croisés sur fond noir.
Les deux pièces contenues dans le présent volume sont destinées, l'une comme l'autre, au public enfantin. Inspecteur Toutou, est une sorte de féerie policière, qui montre un brave chien policier dans l'exercice de ses fonctions, sollicité, requis et bien souvent dupé par plusieurs personnages bien connus du conte populaire. La bonne fée Rutabaga intervient à la fin pour rattraper toutes ses bévues.
« Crac ! dans le sac ! », librement adapté du Frère Loustic de Grimm, est une pièce pour marionnettes à gaine. Ces textes peuvent fournir chacun un spectacle de moins d'une heure, n'exigeant que peu de moyens matériels.
Lors d'une excursion dans un château, Isis n'écoute rien de la visite guidée, et trouve plus excitant d'explorer les pièces interdites au public. Dans une chambre sombre, elle découvre une vieille dame. Celle-ci prétend être la descendante de la reine égyptienne Hatchepsout et lui ordonne de délivrer l'amulette dissimulée dans un coffret d'Anubis… avant qu'il ne soit trop tard. Isis ne comprend rien. Cette dame est-elle en plein délire ? Pourquoi lui confie-t-elle cette mission ? Elle ne la connait pas et elle n'a que 11 ans ! Ce n'est pas parce que sa mère est égyptologue qu'elle peut faire quoi que ce soit ! La vieille dame insiste. Curieuse, Isis est intriguée : dès le lendemain, elle demande à sa mère de l'emmener voir le fameux coffret dans les réserves du Louvre…
Une semaine tranquille avec des voisins sans histoires, c'est tout ce qu'Antoine espérait pour bien terminer les vacances. C'est raté ! Entre Lulie qui se casse le bras, madame Ferplon qui vocifère pour chasser les esprits, Jules qui a soudainement peur des fourchettes, sa tante féroce à qui il manque un doigt...La rue d'Antoine est comme possédée, ses habitants semblent ensorcelés. Par qui ? Par Quoi ? C'est à lui de le découvrir.