Thème « Asie »
Ming Lo et sa femme vivaient juste au pied d'une grosse montagne et cette montagne leur gâchait la vie... Mais comment faire pour la déplacer ?
Quand Roya et sa famille obtiennent une maison aux Pays-Bas, ils sont heureux et soulagés. Mais Roya trouve qu'il manque quelque chose à leur bonheur. Une maison n'est pas vraiment une maison sans un animal domestique. Elle se rend alors dans une animalerie avec ses trois frères et choisit un adorable lapin nain qu'elle appelle Misjka. Elle entreprend très vite de lui raconter, avec l'aide de ses frères, la fuite loin de son pays, l'Afghanistan. Mais, un jour, Misjka disparaît.
Mon-gol ! Mon-gol ! L'insulte est reprise en choeur dans la cour de récré. Ludovic a l'habitude, mais cette fois-ci le mot l'intrigue. Mongol ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Pour la première fois de sa vie, il consulte un dictionnaire. « Mongol, e adj : de la Mongolie. » Soit, Ludovic sera donc un véritable Mongol de Mongolie qui se nourrit exclusivement de viande et de fromage, pillant le bac à fromages du réfrigérateur et enfournant de pleines brassées de saucisses, qui connaît sur le bout des doigts l'histoire de Gengis Khan et la date de la fête du Naadam, qui se rase le crâne, qui traite ses ennemis de « Cerveau cru de ton père » ou encore d'« Outre à excréments » ! Bien sûr, la transformation de Ludovic ne passe pas inaperçue - lui que tous considèrent comme l'idiot de service ! Bizarrement, personne ne semble se réjouir de sa métamorphose ni des progrès accomplis. Sa maîtresse le punit, ses parents s'inquiètent et ses camarades de classe le regardent d'un drôle d'air...
Quand Moun est née, la guerre faisait rage. Pour la sauver, ses parents la placèrent dans une petite boîte qu'ils confièrent à l'océan. Portée par les vagues, Moun fit un long voyage. Puis un jour, la petite boite échoua parmi les coquillages...
« Le complexe architectural présenté dans cette histoire est purement fictif, de même que les personnages du mécène et de l'architecte. Les bâtiments en revanche, s'inspirent directement d'exemples réels construits entre 1540 et 1580 à Istanbul et ses environs par Sinan, le plus célèbre architecte de l'Empire ottoman. À mes yeux, les meilleurs exemples d'architecture d'inspiration religieuse figurent parmi les plus belles réalisations de l'homme. Quand ils servent une force supérieure, les êtres humains semblent capables de se surpasser, et même de réaliser l'impossible. Motivés par leur foi et guidés par leur sens pratique, les bâtisseurs dont il est ici question ont su créer des édifices qui révèlent une ingéniosité, une ambition et une maîtrise rarement égalées dans l'histoire de l'architecture.» David Macaulay
Cette histoire se passe en Chine, il y a très, très longtemps. Un soir d'hiver, Maître Yang, un grand sage, rentre chez lui en serrant dans son manteau un petit garçon à demi mort de froid. Ce garçon est orphelin. Maître Yang prend soin de lui et se charge de son éducation. Une nuit, le garçon découvre que Maître Yang connaît la boxe de l'Aigle et qu'il la pratique à la perfection. Dès lors, chaque nuit, il se cache pour observer Maître Yang, et répète tous les mouvements qu'il voit jusqu'à les savoir par coeur. Quand Maître Yang s'en aperçoit, sa première réaction est la colère. Mais l'enfant est si doué qu'il décide de faire de lui son disciple. C'est le début d'un apprentissage terriblement long et difficile, qui permet d'acquérir des capacités exceptionnelles...
Demain, c’est sûr, Dolma quittera la tente familiale et partira avec son yack dans la montagne. Sa maman est malade et la fillette veut lancer tout là-haut les « petits chevaux du vent » qu’elle a choisis pour elle. La marche est longue mais, malgré le froid et les embûches, Dolma va trouver les bons guides et porter ses prières près du lac sacré.
En Malaisie, pays d'Asie où se cultive le cocotier, on élève spécialement de petits singes qui sont entraînés à aller cueillir les noix de coco en haut des arbres. Et Tikou, jeune macaque, est dressé à ce travail de récolte par son maître, M. Rahman. Dressé ? Disons plutôt obligé à coups de baguette, car M. Rahman est un homme impatient et brutal. Heureusement, Tikou a deux amies, deux soeurs qui l'ont pris en amitié, et qui ont décidé de lui venir en aide...
En fin de volume, un dossier documentaire pour en savoir plus.
Sous son lit, Kosmo a creusé un tunnel. De l’autre côté du tunnel, il y a la Chine, un pays immense et mystérieux, qui ne ressemble à rien de ce qu’il connaît. Kosmo y sillonne des forêts de bambous où vivent des pandas, y croise des dragons, résout des énigmes, il découvre la recette du riz cantonnais, apprend à compter en chinois. Puis, un jour, il rencontre un ravioli qui parle… du secret de l’immortalité. Au-delà des temples sacrés et de la Cité interdite des anciens empereurs, ce voyage entraîne Kosmo plus loin que tout ce qu’il avait pu imaginer… Surtout lorsqu’il tombe amoureux de la jolie Liu, sourde et muette. Pour communiquer avec elle, il va apprendre la langue des signes…
Voici la journée d'une troupe de macaques bonnets, quelque part en Inde. Vivida, Rama, Kumara et les leurs partent en quête de nourriture aux abords de la ville. Après quelques déconvenues, ils trouveront refuge dans un temple, où ils bénéficient de la protection des religieux hindous. Malgré la bienveillance des Indiens envers les animaux, la cohabitation n'est pas toujours de tout repos et gagner sa pitance ne va pas sans mal ! Si les macaques bonnets sont capables de s'adapter au monde des hommes, à leurs villes et à leurs temples, leur habitat naturel reste les arbres et la forêt. Or, dans beaucoup d'endroits, la forêt disparaît. Si les hommes sont responsables de la disparition des forêts où vivent les singes et beaucoup d'autres animaux, ils sont aussi les seuls à pouvoir faire quelque chose pour protéger la nature, suivant l'exemple des religieux en Inde.
Jane Goodall, Diane Fossey, et Biruté Galdikas sont encore de très jeunes femmes inexpérimentées quand le célèbre archéologue et paléontologue Louis Leakey les recrute. Il leur donne leur chance en les envoyant étudier sur le terrain, respectivement les chimpanzés en Tanzanie, les gorilles au Rwanda et les orangs-outangs à Bornéo. Par leurs observations minutieuses, leur intuition, leur courage et leur empathie, les trois femmes vont révolutionner notre vision des grands singes, nos frères non humains…
« Qu'est-ce que c'est au juste qu'un dragon? » demande le jeune Dong-Dong à son grand-père. Celui-ci lui explique que le dragon est un animal fabuleux, qui était assez mal vu en Occident au Moyen Âge, mais qu'on a toujours vénéré en Orient. En Chine, on a même une raison très précise de lui être reconnaissant et de le célébrer chaque année. « Voici laquelle... » Heureusement, il y aura toujours (en Chine et ailleurs) des grands-pères qui prendront plaisir à raconter de belles légendes à leurs petits-fils.
Quand il était petit, Han Gan adorait dessiner. Il aimait par-dessus tout dessiner des chevaux, et toujours il voulait qu'ils aient l'air le plus vivant possible. Il était si doué que l'Empereur entendit parler de lui, et le fit entrer à l'Académie des peintres officiels. Mais là, Han Gan ne voulut peindre que des chevaux, et toujours attachés. Quand ses collègues lui demandèrent pourquoi, il répondit que ses chevaux étaient si vivants qu'ils pourraient sortir du papier. Une nuit, un valeureux guerrier vint frapper à la porte de Han Gan. Il lui dit que le pays était en danger, qu'il devait partir se battre demain, et lui demanda de faire apparaître pour lui le plus fougueux et le plus vaillant des coursiers. Han Gan se mit au travail... Il ne savait pas encore qu'il allait donner vie cette nuit-là à un cheval invincible, au caractère noble et indomptable.
Au coeur de la forêt profonde, la Tigresse pleure la mort de ses petits. Des chasseurs les ont tués. Depuis, elle rôde autour des villages, le coeur empli de haine et de chagrin. Un soir, elle détruit les maisons, dévore les hommes et les bêtes, mais cela n'apaise pas sa colère, au contraire.
Le pays est plongé dans la terreur. Le roi consulte la vieille Lao Lao, qui lui déconseille formellement de lever une armée. Une seule chose, selon elle, peut apaiser sa colère. Le roi doit lui donner son fils unique, Wen. Le roi et la reine ont le coeur brisé. Wen est si petit !
Son père l'accompagne pourtant aux abords du territoire de la Tigresse. « Je n'ai pas peur », dit-il à son père. Il marche longtemps, puis, fatigué, s'endort au pied d'un arbre. Déjà la Tigresse a senti son odeur...
Des hommes-fleurs qui dansent pour guérir un malade. Des singes qui se baladent dans les arbres. Une partie de pêche dans la rivière. Une cascade qui sent le patchouli. Une forêt paradisiaque. Des bûcherons inquiétants. Un tsunami. Une nouvelle amie. Quelles vacances pour Clara, qui visite la station de recherche de son frère dans la forêt tropicale !
Une histoire et un documentaire pour faire connaissance avec les Mentawaï de l'île de Sibérut et leur forêt tropicale, en Indonésie.
Longtemps l’Arménie fut un très grand royaume que dominait le mont Ararat. C’est au pied de cette montagne vénérée depuis la Bible que le folkloriste Tigrane Navarissian collecta les contes de ce recueil, au XIXe siècle, et les fixa à l’écrit. Puis un génocide mit fin à la société qui, depuis des siècles, créait et transmettait ces récits magnifiques et le mont Ararat et sa province devinrent turcs.
Mais L’oiseau d’émeraude, Le poisson d’or, Les pommes de l’Immortalité et tant d’autres histoires continuèrent à être racontées dans la petite république arménienne des rescapés. Elles perpétuèrent l’humour, la vaillance des héros et des rois d’autrefois. Et aussi, comme il se doit, la cruauté des dragons et la beauté des princesses.
Aujourd’hui, Léon Ketcheyan, spécialiste de la culture orale arménienne, les fait vivre en français pour la plus grande joie des amateurs de contes, petits ou grands.















