Thème « archéologie »
Capitaine Maman, la célèbre archéologue sous-marine, est partie à la recherche de l’épave du premier navire polaire, disparu il y a 150 ans. Pendant qu’elle s’active à bord, pour éviter que son propre bateau ne soit bloqué par la glace, l’équipage rapporte un bébé chiot, trouvé sur la banquise. Surexcité, il veut jouer et saute partout… Ce n’est vraiment pas le moment ! Ou peut-être que si, justement ?
Avec tout son équipage, Capitaine Maman part tester un nouveau sous-marin dans un pays lointain, au fond du lac le plus profond du monde. À l’heure du goûter, le chiot rapporte un bel os. Il l’a trouvé en déterrant un squelette… et un trésor. Vite ! L’archéologue en chef Capitaine Maman installe un chantier de fouilles dans les règles de l’art. Et elle va de découverte en découverte…
Dans La caravelle, nous accompagnons un groupe d'archéologues sous-marins à la recherche d'une caravelle disparue depuis longtemps sur un récif de la mer des Antilles. La mise au jour, un à un, des objets et instruments de l'époque donne lieu à une interprétation minutieuse relatée par l'association de dessins, de documents, de cartes et de schémas. Au fur et à mesure que les vestiges du passé nous sont livrés, une histoire se révèle à nous : celle de la naissance triomphale de la Magdalena de Séville et de son dernier et tragique voyage vers un autre continent.
Nils Hazard a reçu une lettre d’Italie : en fouillant une tombe, ses étudiants en archéologie ont trouvé un texte gravé sur des tablettes d’argile. Ni une ni deux, Nils s’envole pour l’Italie, emmenant avec lui Catherine Roque, sa secrétaire et petite amie. Mais c’est un tout autre secret que révèle la tombe : couloirs murés, pièges mortels et, pour finir, deux cadavres…
Quelle est l'origine des hiéroglyphes ? Comment leur secret fut-il un jour percé ? Quelle signification particulière les Égyptiens de l'Antiquité attribuaient-ils à l'écriture ? Comment se déroulait l'apprentissage des scribes ?
Un livre simple pour s'initier aux mystères des hiéroglyphes et s'amuser à les transcrire soi-même.
Avec Le roman de la momie, Théophile Gautier a inventé le roman archéologique - et surtout une forme de récit où la précision de la description compte davantage que l'anecdote. Les amours de Tahoser, Égyptienne de l'époque de Moïse, ne sont en effet qu'un prétexte à reconstitution à partir des documents de l'archéologie égyptienne. L'auteur porte visiblement moins d'intérêt à ses personnages et à leur passion qu'au décor et le décor, inspiré des peintures égyptiennes, il le décrit avec la précision de qui cherche un effet de l'art, et non du romanesque. Par là, Théophile Gautier apparaît comme l'inspirateur d'un formalisme dont le chef-d'œuvre allait être, quatre ans plus tard, en 1862, la Salammbô de Gustave Flaubert.