Thème « animaux »
Akli veut aller chercher son épée chez son oncle qui habite la ville. Mais, pour cela, il doit traverser le désert et affronter des génies méchants et grands comme des monstres. Akli demande à Azumar le chameau de l'accompagner et, pour le convaincre, il lui promet une selle d'argent...
C'est l'automne. Un petit ours et sa mère sont en quête de nourriture afin de préparer les longs mois d'hiver. Ils grimpent sur un arbre et se régalent de raisin sauvage. Au loin il y a une rivière. C'est l'occasion pour le jeune ourson d'essayer d'attraper son premier saumon.
Après Au fil de l'eau et autres histoires, voici la seconde partie du Vent dans les saules, le grand classique de la littérature anglaise pour enfants. Ces aventures de Crapaud ont été abrégées avec soin et illustrées avec talent, tout comme celles de Taupe et de ses amis, par Inga Moore.
« Papa ! Papa Ours ! Papours ! » Pour Papa, ces cris de joie sont les plus beaux cris qui soient. Car ce sont ceux de ses deux petits : Paul et Fanny. Il ne les voit pas tous les jours depuis qu'il a quitté Maman Ours, mais quand il les voit c'est pour deux jours et deux nuits. Deux jours et deux nuits à faire les fous, à manger des pizzas ou du hachis parmentier, à regarder les couchers de soleil et à faire des puzzles avec le bleu du ciel. C'est un Papa qui aime ses enfants plus que tout au monde... tout simplement.
Deux oies qui vont chaque matin prendre leur bain à la mare et qui parfois se demandent si elles font bien de s'y rendre par leur chemin habituel ou si elles devraient en chercher un nouveau - une rencontre avec un renard les aidera à trancher. Un ours qui part pour la ville chaussé de grands sacs en papier et coiffé d'une poêle à frire parce qu'il tient absolument à être au goût du jour et qu'il a demandé conseil à un corbeau farceur. Un crocodile qui n'a plus envie de sortir de sa chambre à coucher parce que les fleurs du papier peint sont tellement mieux rangées que celles du jardin... Vingt fables qui parlent, chacune à sa manière mais toujours avec une sensibilité très « lobelienne », de l'aventure au quotidien.
Les fables contemporaines, si elles montrent nos défauts, c'est pas pour nous faire de la peine, mais pour que nous soyons moins faux. Afin de blâmer la bêtise et la haine, qui mettent-elles en scène ? Toujours des animaux. Il y eut Ésope et La Fontaine, et nou, nous avons Yvan Pommaux !
Par une belle après-midi d’automne, Garry le lion cueille des petits fruits. Au pied de la montagne, il pousse un rugissement qui résonne de toute part : « Par le poil de ma crinière, cette montagne est redoutable table table table ! »
Modou le lapin manque d’avaler de travers son petit déjeuner. « Il y a quelqu’un dans cette montagne qui gronde comme l’orage rage rage rage. » 
Garry n’est pas très rassuré : « Continue sans moi, je ne suis pas bon grimpeur peur peur peur ! »
Jojo est un type bien, gentil, généreux, toujours prêt à rendre service.
Qui aide les vieilles personnes à traverser le boulevard de la Jungle ? Lui. Qui parle très fort dans l’oreille des sourds ? Encore lui. Qui change les couches d’Ozone, le bébé géant, plusieurs fois par jour ? Toujours lui.
Et au fait, qui n’a de cesse de répéter que Jojo de la jungle, c’est un type bien ? Mais… c’est lui. Alors là, il faudrait peut-être commencer à se méfier de lui. Non ?
Voici l'histoire d'un loup solitaire qui voudrait bien trouver une compagne. Et l'histoire d'une renarde, celle d'un lapin, celle d'un autre loup, d'un autre lapin, etc.... Ce sont douze histoires d'amour et d'amitié, douze petites nouvelles à écouter, pour les plus jeunes, avant de d'endormir, ou à lire, pour les plus grands, à n'importe quelle heure de la journée.
Jumanji est un jeu d'aventures dans la jungle qui ressemble à jeu de l'oie, à la différence près que le message de chaque case devient réalité - le lion attaque vraiment, des singes saccagent la cuisine, les pluies de la mousson inondent le salon... Une fois le jeu commencé, la seule issue est d'aller jusqu'au bout, de sortir de la jungle et d'atteindre Jumanji.
Ces dix-sept histoires d’animaux – du Bison dédoublé à Lucifer la luciole en passant par le Sanglier à verrues –, montrent qu’être un animal et vivre parmi les autres animaux n’est pas facile tous les jours. Ça ne vous rappelle rien ? Mais heureusement dans la vie, il y a aussi les bonnes résolutions sciemment révoquées, les fêtes d’anniversaire, et les admirateurs secrets.
La fille de l’empereur possédait trois cent quatre-vingt-dix paires de chaussures, huit cent douze chapeaux, cinquante ceintures en queue de serpent. Mais ce qu’elle aimait par-dessus tout, c’était les oiseaux. Son jardin comptait cent et une volières habitées par les oiseaux les plus rares. Mais hélas ! Combien de têtes avaient-elles coûté, de combien de serviteurs ! Jusqu’à la nuit où Valentina rêva de l’oiseau qui parle. Personne ne le trouva. Puis, après onze longs mois, un jeune serviteur rapporta dans un écrin un tout petit oeuf dans un nid…
Le Chapitaine adorait les chats. Il possédait plus de chats à bord de son bateau qu’il n’avait de marins dans son équipage. Les autres marchands se moquaient de lui. Le Chapitaine partait en mer pour découvrir les merveilleux endroits qu’il était toujours impatient d’explorer. Un jour, il aborda une petite île retirée. La jeune reine se fit une joie de l’accueillir.
Quand il était petit, Han Gan adorait dessiner. Il aimait par-dessus tout dessiner des chevaux, et toujours il voulait qu'ils aient l'air le plus vivant possible. Il était si doué que l'Empereur entendit parler de lui, et le fit entrer à l'Académie des peintres officiels. Mais là, Han Gan ne voulut peindre que des chevaux, et toujours attachés. Quand ses collègues lui demandèrent pourquoi, il répondit que ses chevaux étaient si vivants qu'ils pourraient sortir du papier. Une nuit, un valeureux guerrier vint frapper à la porte de Han Gan. Il lui dit que le pays était en danger, qu'il devait partir se battre demain, et lui demanda de faire apparaître pour lui le plus fougueux et le plus vaillant des coursiers. Han Gan se mit au travail... Il ne savait pas encore qu'il allait donner vie cette nuit-là à un cheval invincible, au caractère noble et indomptable.
Niché au creux des montagnes, un petit lac scintille dans le soleil couchant et un silence très doux enveloppe tout. Le soleil disparaît, le ciel passe de l'or au bleu. C'est l'heure où sortent les hiboux.
Un loup vivait dans une forêt bordée de ronces. Ce loup avait sa chair fraîche préférée : le mouton dodu. Cela tombait à point nommé car, en contrebas de la forêt, se trouvait un joli pré vert où broutait un troupeau de deux cents moutons dodus. Et, par chance pour le loup, le jeune berger qui les gardait préférait lire que surveiller ses moutons...















