Thème « animaux »
L’idée géniale de Il ne faut pas habiller les animaux est venue en 1970 à l’irrévérencieux Ron Barrett parce qu’il en avait marre de voir Donald le canard en costume marin ! Voici, un demi-siècle après, le tome 2 de ce best-seller. Habiller les animaux ? Non, toujours pas ! Ni le cerf, qui aurait trop de chapeaux entre lesquels hésiter. Ni le mille-pattes, qui perdrait trop de chaussettes dans la machine, etc, etc.
Le Docteur Souris ne connaît pas d'autre remède que les piqûres. Mais Héléna, son infirmière d'un jour, a de bien meilleures idées.
Réchauffement climatique ? Été particulièrement torride ? Absence d’arbres ?
En tout cas, ce qui est sûr, c’est que ce petit pingouin meurt de chaud et cherche un coin d’ombre. Ouf ! En voilà un. Oui, mais ce coin d’ombre est un phoque qui veut bouger pour chercher, lui aussi, un coin d’ombre plus grand… Et ainsi de suite, jusqu’à ce que l’éléphant ne trouve plus de grande ombre à sa taille. Il propose alors une autre solution à toute la troupe, enthousiaste : « À l’eau ! »
Papa et maman sont fâchés contre Jack, leur petit chien, car il y a plein de trous dans le jardin. Jack adore cacher ses os et jouer avec la terre, mais ce n’est pas lui le coupable ! Comment Jack va-t-il résoudre cette injustice et dénicher l’auteur de ces trous ? En se fiant à son instinct le plus profond…
Chaque matin, maman Crocodile apporte à Achille de bonnes bananes pour son petit déjeuner, et chaque matin, elle s'émerveille : « Mon fils, comme tu es grand, comme tu es beau, comme tu as de belles dents ! » Mais un matin, Achille ne mange rien. Il ne veut pas de bananes. Ce qu'il veut, c'est manger un enfant. Ses parents s'inquiètent. Ils lui apportent une saucisse grosse comme un camion. Ils lui préparent un énorme gâteau au chocolat. Rien à faire. Ce que veut Achille, c'est manger un enfant. Qu'est-ce qui pourrait lui ôter cette idée de la tête ? De rencontrer un enfant, peut-être ?
Simon, alias Superlapin, est contrarié. Quand sa maman les a mesurés, lui et son petit frère Gaspard, elle a trouvé que Gaspard avait beaucoup grandi : trois centimètres ! Et Simon, un peu seulement : un ridicule centimètre. Du coup, Simon voit des injustices partout. Fâché ? Pas seulement. Triste aussi. Et au bord de détester Gaspard, le chouchou de la vie… Heureusement, au square, il suffit qu’un grand tente d’embêter Gaspard pour que Simon retrouve son rôle, sa place et son amour de frère le plus grand, le plus protecteur !
C'est vert et gluant, ça vit dans l'eau et sur la terre : c'est donc une grenouille comme nous, pensent les petites grenouilles en apercevant la grosse bête qui se baigne dans leur mare. Le nouveau venu a beau leur répéter qu'il est un dragon, elles ne le croient pas. Les dragons ? C'est comme les choux-fleurs, ça n'existe pas en vrai ! Pour les convaincre, le dragon va devoir employer les grands moyens…
Le gâteau pour Mamie est prêt. C'est Jeannot qui doit le lui apporter. C'est fragile. Il faut le tenir bien droit, mais en marchant, ce n'est pas évident. Aïe, quelque chose a bougé. C'est un petit chou qui s'est détaché. Il n'y a qu'une solution, se dit Jeannot : le manger. Un chou en moins, ça ne se remarque pas beaucoup.
« Je t'ai vu ! » crie l'écureuil à Jeannot. « Ca a l'air bon. Donne-moi juste un chou et je ne dirai rien à ta maman. »
Deux choux en moins, ça ne se voit pas tellement. Le problème, c'est qu'en chemin, Jeannot va aussi rencontrer la pie, la souris et le renard...
Simon a beau être un Superlapin, ses goûts en matière d’alimentation ne sont pas supervariés… Quand sa maman l’appelle pour manger ses tartines, quand son papa lui dit de finir son bifteck et ses légumes, Simon répond : « Pouah ! Berk ! C’est pas bon ! » Lui, tout ce qu’il veut, c’est manger des pâtes, un point c’est tout. Mais que se passe-t-il quand Maman fait du gâteau au chocolat, et que la condition pour en avoir un gros morceau, c’est de manger d’abord... sa soupe ?
C’est la veille de la rentrée et Simon a une nouvelle réplique préférée. Quand sa maman lui dit : « Tu vas aller à l’école », quand son papa lui promet : « Tu vas apprendre l’alphabet », Simon prend un air effaré et grognon et il crie : « Ça va pas non ! »
C’est le jour de la rentrée et Simon ne veut pas y aller. Mais une fois sur place, après avoir un peu pleuré, il s’aperçoit qu’on fait plein de choses formidables à l’école. Alors, le soir, quand la maîtresse lui dit qu’il faut partir, savez-vous ce qu’il répond ?
La piscine ? Cet endroit horrible où l’on grelotte de froid, de peur et de honte en maillot de bain, où l’on boit la tasse, où des monstres marins peuvent nous attaquer ? Simon le Superlapin n’a qu’une réponse quand ses parents lui annoncent que la première séance est pour demain : « Jamais de la vie ! » Pourtant, quand il aperçoit Lou qui tremble encore plus que lui sur le bord du bassin, Simon n’écoute que son courage et découvre que, la piscine, ce n’est pas aussi terrible que ce qu’il croyait…
Simon adore la petite maison où il est né. La quitter pour une plus belle ? Impossible. Pas question. Pourtant, quand son petit frère Gaspard manifeste son inquiétude à son tour, Simon trouve les mots pour lui parler du déménagement.
C'est une idée fixe, une obsession, une passion. Scarlett, la petite fille de compagnie de Palomino le poney, veut à son tour un animal de compagnie : un chat ! Palomino n'est pas très chaud. Un chat ? Ça laisse des poils partout, ça ne sert à rien, ça dort tout le temps… Est-ce qu'il ne serait pas surtout un peu jaloux ? Le hasard d'une sortie à la cascade va trancher : un petit chat appelle au secours.
Ce soir, Hector a du mal à s'endormir. Jean-Chat, son chat chéri, celui qui d'habitude veille sur lui depuis l'autre bout du lit, a disparu cet après-midi. Très inquiet, Hector décide de sortir le chercher dans la nuit. Une chanson douce le guide… comme si Jean-Chat s'adressait à lui, l'aidait à s'orienter dans le noir, à ouvrir ses oreilles, chercher ses yeux d'or, et le retrouver sous la Voie lactée.
Ce jour-là , Helena avait seulement envie d’aller jouer avec sa poupée au bord de la rivière. Mais là , tout près de l’eau, elle découvre une activité intense.
« Tu es nouvelle ? » demande une souris à Helena qui ne comprend pas.
Bientôt, tout s’éclaire. Grenouille, castor et raton laveur arrivent avec leur planche à récurer, leur savon, et se mettent à chanter en choeur. C’est jour de lessive !
Helena regarde son maillot. Berk ! Il est tout cracra. Et si je faisais la lessive, moi aussi, avec mes nouveaux amis ?
Ce n'est pas un matin comme les autres. Maman me dit que je peux rester encore au lit, car il n'y a pas d'école. Le bus scolaire est resté bloqué... par la neige. La neige ?! Mais je n'ai pas envie de rester au lit ! Je veux vite mettre mes chaussures et courir dehors ! Malheureusement, maman dit non. « Quand il aura cessé de neiger. Sinon, tu vas attraper un rhume. » Il faut se contenter d'une toute petite sortie sur le balcon. Tout est si calme dehors, ni voitures, ni passants. Nous écoutons le silence de la neige qui tombe et nous avons l'impression d'être seuls sur la terre. À midi, la neige tombe encore, et à l'heure du goûter aussi. Le soir, à la télévision, un monsieur explique que tant qu'il neige, l'avion qui doit ramener papa à la maison ne peut décoller... Mais comme une journée si étrange ne peut s'achever que de manière extraordinaire, c'est à l'heure du coucher et sous les étoiles que le petit garçon de cette histoire pourra enfin jouer dans la neige.















