Thème « affirmation de soi »
Pivoine est une princesse, une vraie. Comme en plus elle travaille bien en classe, on l’imagine entrer dans une de ces écoles d’élite pour devenir quelqu’un de très important, qui parle d’« évaluation » et de « croissance ».
Mais les mots qui font rêver Pivoine sont très différents : il s’agit d’« aspirateur » ou de « fer à repasser ». Ce qu’elle adore, c’est ranger la chambre de ses amies, faire son lit ou vider le lave-vaisselle… Une princesse qui fait le ménage ! Inutile de dire que ses royaux parents ne sont pas du tout d’accord…
Sophie a trouvé une trompette dans la rue : quelle chance ! Mais elle a beau la nettoyer, et s’entraîner à souffler dedans, aucun son n’en sort. Heureusement, sa voisine Mireille connaît la musique. Elle apprend un grand secret à Sophie : les instruments ont chacun leur histoire. Ils éprouvent des sentiments. Ils ont besoin d’être compris et aimés comme ils sont, pour pouvoir jouer… Un peu comme nous !
Dans le tome un de sa vie (Mô- Namour), Isée se laissait faire par des ventures qu’elle n’avait pas choisies, comme un accident de voiture. Elle a beaucoup appris, et maintenant, dans le tome deux de sa vie, Isée décide de partir vivre des ventures qu’elle décide elle-même. C’est mieux. La preuve : au lieu de subir, elle délivre. Au lieu de souffrir, elle guérit. Au lieu d’être seule, elle rencontre. Sa venture est variée. Une seule constante : Tadoramour, son doudou dodu, qui reste avec elle, à ses côtés, et ne la quitte pas, quoi qu’il arrive.
Amalia rêve de prendre la mer, mais comment faire lorsque l'on possède, pour seule embarcation, un bateau de papier ? Au café du port, les habitants se moquent de cette jeune fille fantaisiste. Son frêle esquif ? Tout juste bon à faire des confettis ! Ignorant les railleries, un matin, Amalia embarque, portée par son courage et sa témérité.
Ce matin, Apik le jeune Inuit, se réveille avec une question bien précise dans la tête : « Comment faire pour être plus fort avec mon esprit qu’avec mes deux bras ? » En courant sur la banquise et au gré des rencontres, il découvrira que le chemin est plus important que la réponse elle-même.
Simon a tout pour être heureux : une mare de boue dans laquelle se rouler quand il lui plaît ; des racines et des branchettes à grignoter toute la journée. Il n’a qu’un souci : sa mère. Elle lui demande au moins trois fois par jour quand il compte se marier. Chaque fois il répond qu’il a du travail, ou sommeil, bref, autre chose de mieux à faire. S’il continue, sa mère mourra de chagrin. À bout d’arguments, elle préfère appeler Bouliba la marieuse. Son rôle consiste à présenter à Simon des cochonnes de toutes sortes, jusqu’à ce que mariage s’ensuive…
Gour est l’enfant le plus joli du monde, il est aussi le plus intelligent, le plus fort et le plus grand. C’est ce que dit Maman. Pourtant à l’école, Noa est plus grande que lui, Mikaël est plus beau, Itamar donne de vrais coups de pied. Gour réfléchit : sa maman ne va vraiment pas bien si elle se trompe à ce point. Et puis, l’aimerait-elle encore si elle réalisait son erreur ?
Chez les Dumordu, on est fermier de père en fils. C’est ce qu’Archibald Dumordu a déclaré à son fils Douglas, juste avant de mourir. Malheureusement, il n’a rien eu le temps de lui dire d’autre. Douglas veut bien devenir fermier, mais il ne sait pas traire les vaches, il croit que les carottes poussent dans les arbres, et ne peut conduire le tracteur qu’en marche arrière. Les fermiers des alentours se moquent tous de lui. Le père Tropenjus, c’est certain, ne voudra jamais qu’il épouse sa fille, la charmante Miranda.
Heureusement, il y a une chose que Douglas sait faire, c’est parler aux animaux. C’est une chance, car dans son poulailler, il y a un poulet qui s’appelle Ernest, un poulet merveilleux, qui peut transformer sa vie.
« Les petits ne peuvent pas marcher en portant un gros sac. Ils ne savent pas ramasser du bois pour faire cuire le riz. Ils pleurent pour un rien. Ils ont peur du noir. »
Pour toutes ces raisons, les grands ont décidé que Nao n’avait pas le droit de partir camper avec eux. Heureusement, sa voisine Tomoko, qui organise la sortie camping, décide de lui donner sa chance. Toute fière, Nao tient à prouver son sens des responsabilités ! Elle va même se montrer capable d’aller faire pipi toute seule dehors, la nuit…
L’enfant élastique, l’enfant roi, l’enfant cristal… Durant mes voyages, j’ai eu la chance de rencontrer des filles et des garçons, tous différents, tous extraordinaires ! Dans ce livre, j’ai réuni leurs histoires, leurs particularités et leurs pouvoirs. Qui sait ? Tu es peut-être un incroyable toi aussi…
Contrairement aux autres Pozzis, Abel ne sait pas changer de couleur de robe quand bon lui semble et bien qu’il ne soit plus très jeune, au lieu de construire des ponts, il est ramasseur d’herbe.
Comme tous les Pozzis, Abel mesure environ vingt centimètres, il n’aime que le potage et il n’a qu’une seule crainte, c’est le Lailleurs. De ce pays peuvent surgir de grands dangers. Mais comment le savoir ? Il faudrait un Pozzi qui ait le Don. Heureusement, il y en a un parmi eux que seul Capone, leur chef, peut reconnaître.
Une histoire poétique écrite et illustrée par Thibault Prugne, racontée par François Morel sur les musiques aux sonorités gitanes de Jean-Pierre Jolicard. « Téo entendait de la musique partout : dans le cliquetis des mâts et le clapotis des vagues, dans le chant des mouettes et le souffle du vent. »
Ça grandit vite, un écureuil. À huit mois, Marilou n’est déjà plus tout à fait un enfant. C’est le moment pour elle de quitter sa famille et d’explorer la forêt.
Pour la première fois, elle va cueillir des cerises. Pour la première fois, elle va se faire un ami. Il s’appelle Malik et il a du soleil dans les yeux. Quelle aventure…
Mais le danger est là : un incendie gigantesque éclate dans la forêt. Vite, Marilou, il faut se sauver ! Dans la fuite, elle ne retrouve plus rien. Son chemin ? Sa maison ? Son ami ? Où sont-ils ? La quête d’un monde nouveau commence.
À force de faire bêtise sur bêtise dans son terrible costume de loup, Max s’est retrouvé puni et enfermé dans sa chambre. Mais pas seulement. Voilà qu’il se retrouve aussi roi d’une armée de bêtes immondes, les Maximonstres. Max le maudit les a domptés. Ils sont griffus, dentus, poilus, vivent sur une île et ne savent rien faire que des sarabandes, des fêtes horribles où il n’y a rien à manger. Max a la nostalgie de son chez-lui, des bonnes odeurs de cuisine et de l’amour de sa mère. Que faut-il faire pour rentrer ? Peut-être commencer par le désirer…
La vie d’Irisée commence dans les longs cheveux de sa mère Méduse. Irisée, comme la nacre qui tapisse et protège l’intérieur de certains coquillages.
« Tu es ma perle », dit Méduse.
« Elle est adorable », dit-on au village.
« Oui, elle est à moi ! » répond Méduse. Mais au-dehors, Irisée est attirée par les autres enfants. Elle voudrait aller à l’école…
Les bonnes résolutions, ce sont souvent les mêmes. Alors si on changeait un peu ? 31 résolutions originales pour vivre son quotidien différemment : prendre le temps de suivre un escargot à la trace, se coucher sans regarder les monstres sous son lit, rire au moins une fois par jour…
À prendre dès maintenant !















