Thème « affirmation de soi »
Une petite fourmi grimpe, grimpe en haut d’une montagne. Le papillon lui propose de la transporter plus haut mais la petite fourmi veut y arriver toute seule, comme une grande ! Arrivée en haut, elle s’aperçoit qu’elle n’était pas sur une montagne mais sur une girafe ! Tout en haut sur la tête de la girafe, elle peut maintenant voir très loin tout ce que d’habitude elle regarde d’en bas !
Aujourd’hui le livre est grognon. Il dit NON à tout : non à une promenade, non à une lecture, non à un bisou ! Vraiment non ? Autant fermer le livre ! Ah ! on ne ferme pas le livre ? Alors qu’est-ce qu’on fait ?
Après sa journée chez Grand-Ma et Grand-père où il a fait beaucoup de choses comme un grand, il n’a pas pris de biberon, il n’a pas eu peur de l’eau, il a bien rangé ses jouets, Maman le félicite ! Et Maman lui a apporté une surprise, une surprise toute petite qui va prendre beaucoup de place dans le coeur de Lucien !
Bibi aime faire plaisir à son très grand ami Petit Chou. Il se met en quatre pour le satisfaire. Mais Petit Chou devient de plus en plus exigeant, et même de plus en plus capricieux ! Alors Bibi perd patience…
C'est l'histoire de la petite chienne Papatte, dont la voix est si mélodieuse qu'elle devient chanteuse. Cette voix douce et harmonieuse endort tout le monde dans un bonheur absolu. Elle devient une star internationale et enchaîne les concerts même si le public s'endort systématiquement !
Elles sont rouges. Quand il les chausse, Babakar Quichon bat tout le monde à la course, ses frères, ses soeurs, son papa, sa maman, et même le lion de Stéphanie. Et ce n’est pas tout ! Quand il porte ses basquettes fantastiques et mirifiques, Babakar Quichon passe le mur du son, va plus vite que la lumière, plus vite que la musique, il sort de l’espace-temps ! Et puis, une fois qu’il a gagné, il les ôte, et, tranquillement, il attend les autres.
Cette poussette est à Cléo Quichon, et à elle seule ! C’est sa propriété privée, sa chasse gardée. Que quelqu’un d’autre y touche sans autorisation, la pousse, s’y installe ? Pas question ! Évidemment, une poussette, c’est fait pour pousser les gens, c’est mieux s’il y a quelqu’un dedans…
Gaspard n’est pas content du tout. Être à la fois le petit frère de Simon et le grand frère de Suzanne, c’est vraiment pas facile. Trop petit pour aider papa à bricoler… trop grand pour attendrir maman et se faire admirer… Dégoûté, il se venge en faisant plein de bêtises. Et il en rajoute en accusant bébé chat. Pourtant, Gaspard a des idées et de la bonne volonté. Il suffit que le vent se lève et fasse voler les feuilles sur la clôture repeinte de frais pour qu’il ait l’occasion de le prouver !
Quand il se réveille de sa longue hibernation, Mammouth ne reconnaît plus rien. Partout d'étranges créatures, et beaucoup de boucan… Mais où est passé son troupeau ? Il ne comprend rien à ce qui l'entoure. Il essaie pourtant de se faire des amis, et va de déception en déception, jusqu'à ce qu'il entende au loin un barrissement qui ressemble au sien…
Soixante-treize, c'est le nombre d'enfants dans la famille Quichon. Il y a Gaëtan Quichon, qui a des démêlés avec un cauchemar, et Philippe Quichon qui désire voler. Il y a aussi Diane Quichon, Paolo Quichon, la petite Cléo Quichon etc... Ne vous inquiétez pas, bientôt vous les connaîtrez tous. Évidemment, soixante-treize enfants, c'est parfois un peu compliqué pour les parents. Il arrive que Maman Quichon ait du mal à les coucher, par exemple. Il arrive même qu'elle soit obligée de se fâcher. Mais quand vos soixante-treize petits cochons vous font un bisou tous en même temps, vous ne regrettez sûrement pas d'être mère.
Bernard est un dragon rapide qui a un beau prénom et qui met beaucoup de buts au foot. Mais comme il est le plus petit de sa classe, Marcel, l’abruti jaloux, en profite pour l’embêter et se moquer de lui devant les filles. D’injures en coups de poing, de coquards en vengeance, cette histoire risque de mal se terminer. Même le réconfort apporté par sa maman peut se retourner contre Bernard, et ses mots d’amour se transformer en quolibets dans la bouche des autres. Il est temps d’y mettre bon ordre. Chauffe, Bernard !
À sa naissance, Édith a reçu deux dons. Le premier, d'une fée débutante, lui permet de donner la vie à n'importe quel objet. Le deuxième, d'une vieille fée en fin de carrière, est celui de l'Éternelle Enfance. C'est pourquoi, aujourd'hui, cent ans plus tard, Édith s'apprête à fêter son siècle en ayant l'air de n'avoir que sept ans. Ce qu'elle souhaite cette fois ? Un nouvel ami, peut-être. Une nouvelle vie, à coup sûr.
Pendant que les autres mulots font provision de maïs et de noisettes pour l'hiver, Frédéric, lui, fait provision de soleil, de couleurs et de mots.
Sophie a trouvé une trompette dans la rue : quelle chance ! Mais elle a beau la nettoyer, et s’entraîner à souffler dedans, aucun son n’en sort. Heureusement, sa voisine Mireille connaît la musique. Elle apprend un grand secret à Sophie : les instruments ont chacun leur histoire. Ils éprouvent des sentiments. Ils ont besoin d’être compris et aimés comme ils sont, pour pouvoir jouer… Un peu comme nous !
Dans le tome un de sa vie (Mô- Namour), Isée se laissait faire par des ventures qu’elle n’avait pas choisies, comme un accident de voiture. Elle a beaucoup appris, et maintenant, dans le tome deux de sa vie, Isée décide de partir vivre des ventures qu’elle décide elle-même. C’est mieux. La preuve : au lieu de subir, elle délivre. Au lieu de souffrir, elle guérit. Au lieu d’être seule, elle rencontre. Sa venture est variée. Une seule constante : Tadoramour, son doudou dodu, qui reste avec elle, à ses côtés, et ne la quitte pas, quoi qu’il arrive.
Amalia rêve de prendre la mer, mais comment faire lorsque l'on possède, pour seule embarcation, un bateau de papier ? Au café du port, les habitants se moquent de cette jeune fille fantaisiste. Son frêle esquif ? Tout juste bon à faire des confettis ! Ignorant les railleries, un matin, Amalia embarque, portée par son courage et sa témérité.