Olivier Tallec débute dans la presse (Le Monde, Libération, XXI) avant de se consacrer pleinement à l’édition jeunesse. Son travail oscille entre l’absurde et la tendresse, le burlesque et la réflexion.
Il aime les personnages imparfaits, un brin agaçants, mais profondément humains, et refuse toute forme de morale figée dans ses récits. S’inspirant parfois de l’actualité, il considère que les albums jeunesse doivent faire écho au monde dans lequel les enfants grandissent.
Ses histoires, légères de prime abord, portent ainsi des résonances plus profondes, ouvrant la porte à une réflexion sur notre époque.
Olivier Tallec débute dans la presse (Le Monde, Libération, XXI) avant de se consacrer pleinement à l’édition jeunesse. Son travail oscille entre l’absurde et la tendresse, le burlesque et la réflexion.
Il aime les personnages imparfaits, un brin agaçants, mais profondément humains, et refuse toute forme de morale figée dans ses récits. S’inspirant parfois de l’actualité, il considère que les albums jeunesse doivent faire écho au monde dans lequel les enfants grandissent.
Ses histoires, légères de prime abord, portent ainsi des résonances plus profondes, ouvrant la porte à une réflexion sur notre époque.